Alphonse Allais, poète en os troubles
La vie est un remake des chants du mal d'Aurore
Soleil frais d'automne botulique
mardi 27 septembre 2005
lundi 26 septembre 2005
Café Byblos
Au commencement était le verbe
Que n’ai-je compris plus tôt
Les mots sont des cristaux
Les livres des glaciers
Les biblios des biblios
Madame Pouf règne sur le Café Byblos
Faire fondre la neige des mots
La glace des dicos
Découvrir le feu, le fou,
Le cri furieux du fou du feu
Votre tentative de connexion a échoué
À l’ombre des clichés
La cathédrale des mots
Expressions, associations,
Assonances, assommances
Affichage Insertion Format Outils Fenêtre
Aide disponible sous F1
Sous le soleil des faux
À l’ombre des mots
Il n’y a plus de Kilimandjaro
Le Manitoba ne répond plus
Le Mont-Gomery accouche d’une souris
Ne pas oublier de sauvegarder
Sauvegarder sans partage
Contrairement aux Tibias de la vallée de la Logan
Je n’ai jamais cru que les oiseaux avaient un sixième sens
Madame Pouf un cabinet d'essences
Au commencement était le verbe
Il y eut un soir, il y eut un matin
Et vint le correcteur grammatical
Que n’ai-je compris plus tôt
Les mots sont des cristaux
Les livres des glaciers
Les biblios des biblios
Madame Pouf règne sur le Café Byblos
Faire fondre la neige des mots
La glace des dicos
Découvrir le feu, le fou,
Le cri furieux du fou du feu
Votre tentative de connexion a échoué
À l’ombre des clichés
La cathédrale des mots
Expressions, associations,
Assonances, assommances
Affichage Insertion Format Outils Fenêtre
Aide disponible sous F1
Sous le soleil des faux
À l’ombre des mots
Il n’y a plus de Kilimandjaro
Le Manitoba ne répond plus
Le Mont-Gomery accouche d’une souris
Ne pas oublier de sauvegarder
Sauvegarder sans partage
Contrairement aux Tibias de la vallée de la Logan
Je n’ai jamais cru que les oiseaux avaient un sixième sens
Madame Pouf un cabinet d'essences
Au commencement était le verbe
Il y eut un soir, il y eut un matin
Et vint le correcteur grammatical
Quand le pwet poétise
Cantouque de vos quinze ans
Je me rêvais forêt
J'étais un chêne
J'avais seize ans
Je te voyais lac
Tu en avais quinze
Et des yeux, des yeux à fendre l'âme
À l'ombre des grands saules
Les eaux vives étaient frayères
À travers les champs comme un ruisseau
Le ciel comme le temps coulait doucement
C'était au temps des commencements
Avant le grand feu
Avant le grand dérangement
Avant d'avoir tant de fois vingt ans
Forêts rasées
Lacs envasés
Ruisseaux asséchés
Frayères gelées
Pénélope n'attend personne
Ulysse ne va nulle part
On ne monte plus aux chantiers
Et pourtant c'est un bien bel été
Que cet été, que cet été
J'entends la cigale chanter
Et dans vos yeux, vos yeux ma belle
Sous la patine du temps
L'éclat de vos quinze ans
Je me rêvais forêt
J'étais un chêne
J'avais seize ans
Je te voyais lac
Tu en avais quinze
Et des yeux, des yeux à fendre l'âme
À l'ombre des grands saules
Les eaux vives étaient frayères
À travers les champs comme un ruisseau
Le ciel comme le temps coulait doucement
C'était au temps des commencements
Avant le grand feu
Avant le grand dérangement
Avant d'avoir tant de fois vingt ans
Forêts rasées
Lacs envasés
Ruisseaux asséchés
Frayères gelées
Pénélope n'attend personne
Ulysse ne va nulle part
On ne monte plus aux chantiers
Et pourtant c'est un bien bel été
Que cet été, que cet été
J'entends la cigale chanter
Et dans vos yeux, vos yeux ma belle
Sous la patine du temps
L'éclat de vos quinze ans
dimanche 25 septembre 2005
Verbosité
Cette touche de fonction modifie le niveau de verbosité de l'auteur. Chaque niveau de verbosité agit d'une façon différente pendant l'écriture. Les différentes options de verbosité sont : Normale, Haute et Basse. Quant au lecteur...
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