Sous la liqueur grise du ciel
S'étale la cendre des feux anciens.
Derrière les rameaux
Se taisent les branches.
L'herbe verte pointe qui masque le chaume.
Mes joies tout à coup frissonnent
Et se ternissent les lustres des plaisirs éteints.
L'été encore s'apprête à farder la constance de l'hiver.